mOntE LE SOnOtOnE

Musique
Tout public
Tarif :
Tarifs : de 12 à 18 €
Tarif spécial - de 26 ans : 10 €
Billeterie : Office de Tourisme, place du Foirail - Mende 04 66 94 00 23

Une soirée découverte dédiée aux musiques actuelles au coeur de l’automne !


Monte le Sonotone est de retour ! Mêlant une programmation découverte, festive et en direction de la jeunesse, Monte le Sonotone s’impose comme un événement phare au coeur de l’automne lozérien.

Ce vendredi 23 novembre, les musiques actuelles sont à l’honneur : une soirée découverte au coeur de l’automne et aux sonorités du monde. D’un hip hop métissé à l’énergie d’une
trance  instrumentale  et  de  beats  surpuissants,  un  seul  mot d’ordre pour cette soirée : le plaisir de la fête !

KUNTA (ETHIO HIP-HOP)

D’un son puissant et rafraîchissant, Kunta s’immisce dans la famille du Hip-Hop en y apportant une transe joyeusement inspirée des tournes Afro-beat et Ethiopiques. Par sa formation, Kunta démontre sa volonté d’élargir les frontières du Hip-Hop, pour revenir à une forme de musique ouverte sur la rencontre des styles, créant un métissage  inhabituel  entre  Hip-Hop  et  ternaires  africains.
Et si la musique nous transmet une furieuse envie de bouger, Yovan, le MC du groupe, propose des textes incisifs et engagés, à travers lesquels il porte un regard critique sur son  époque.  Il évoque ainsi des thèmes aux enjeux collectifs et internationaux, de son point de vue d’homme blanc européen, affirmant ainsi une forme d’ethnocentrisme inévitable  tout en dénonçant les limites et les dangers de ce positionnement privilégié chez l’homme occidental.
Kunta est une forme organique d’un genre nouveau, une molécule rare et troublante mixant des grooves généreux et des ternaires percussifs, pour nous livrer un « Afro-Hip-Hop » unique et dynamisant ! C’est le 2 Novembre que le groupe sort officiellement “AOLAD”  son  deuxième  EP  et  lance  sa  tournée  2018-2019 avec plus d’envie que jamais.

LA P’TITE FUMÉE (NATURAL TRANCE)

La P’tite Fumée distille une musique actuelle énergique aux accents tribaux, entre world music, techno et trance instrumentale. Cette formule festive permet à la formation  de  s’imposer  comme  l’un  des  groupes  incontournables de la scène « Natural Trance » .
En concert, les quatre acolytes prennent un malin plaisir à communiquer leur douce folie et garantissent un show dynamique  et  explosif. Le grondement du didgeridoo, les  harmonies de la flûte traversière et de la guitare classique se mêlent  à  un  lourd et  puissant  trio  percu basse batterie pour plonger son public dans un voyage sonore survitaminé.
Après plus de 100 dates dans la France entière, la tribu s’exporte désormais à l’étranger. Entre l’univers de la musique instrumentale et l’ambiance syncopée de la techno. La P’tite Fumée tire le meilleur des deux mondes et affirme sa place sur la scène alternative.

AL’TARBA & INCH (ELECTRO HIP-HOP)

Avec “La nuit se lève” Al’Tarba ralentit le tempo et plonge dans une poisse urbaine et épaisse, à la rencontre d’un bestiaire décentré, crépusculaire : parias, rescapés du bitumes, francs-tireurs sortis tout droit de la vague tech noir et anti-héros de slasher…
" La  nuit  se  lève ”  sera  donc  cette  expérience  sonore sombre et anxiogène : une errance d’une nuit en eaux troubles, un long récit nocturne dans lequel l’auditeur croisera de multiples figures, au gré des pérégrinations nocturnes du personnage principal !
Cinématique, profond, truffée de sonorités organiques comme de samples calés au millième de seconde, “La Nuit” d’Al’Tarba sait également s’incarner : au contact de la plume de Virus, “une écriture sans pareil, affûtée et noire au possible”. Entendu aux côtés d’Al, Casey, Rocé ou Prodige, le rappeur de Rouen vient donner corps à la ballade noire du beatmaker.
Entre les Damned, Dj Medhi, Filastine et le catalogue de Def Jux se tient Al’Tarba : en équilibre sur un fil rouge tendu  entre  abstract  hip-hop,  downtempo  lugubre  et swing démembré.
Cirez vos Docs, vissez vos chapeaux melons et tenez-vous tête haute : “La nuit se lève”, et elle s’annonce longue, peuplée d’âmes damnées et de belles rencontres.

 

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Crédits photos Fond : Marveloz Pop festival 2018